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 | Histoire - L'après Bokassa |  |
L'après Bokassa
- Septembre 1981 : Coup d'État dirigé par le général André Kolingba chassant David Dacko du pouvoir. - Mars 1982 : A l'exception du Rassemblement démocratique centrafricain (RDC, nouveau nom du MESAN), les partis sont à nouveau interdits. - Octobre 1986 : Bokassa est jugé et reconnu coupable d'avoir ordonné le meurtre de ses adversaires politiques. Sa condamnation à mort est commuée en réclusion perpétuelle. - Novembre 1986 : Un référendum confirme Kolingba à la tête du pays pour six ans. - 1992 : Sous la pression de la France et des organisations financières internationales, Kolingba accepte la tenue d'élections pluralistes (dont il annule les résultats, invoquant des irrégularités). - 1993 : Election d' Ange-Félix Patassé à la présidence. Le général Kolingba amnistie et libère Bokassa. - Avril et mai 1996 : La crise économique et sociale se prolongeant et les salaires de la fonction publique n'étant pas payés, des mutineries éclatent au sein de l'armée. Les mutins exigent leur rémunération, mais également le limogeage du colonel François Ndjeder, commandant de la garde présidentielle. Craignant un coup d'État, la France, dont les deux principales bases en Afrique sont situées sur le territoire centrafricain, est intervenue militairement pour soutenir le président Patassé. Après avoir conclu un accord avec les mutins, celui-ci annonce la formation d'un gouvernement d'union nationale. La tentative d'éloigner de Bangui les militaires putschistes entraîne un nouveau soulèvement qui suscite une intervention française. - Janvier 1997 : Les accords de Bangui aboutissent à la formation d'un nouveau gouvernement et à la mise en place d'une force africaine de surveillance des accords de Bangui (MISAB). - Avril 1998 : La MISAB est remplacée par une mission des Nations unies en République centrafricaine (Minurca) . - Décembre 1998 : Après les élections législatives, le président Patassé nomme comme nouveau Premier ministre Anicé-Georges Dologuélé. Ce dernier compose un Gouvernement d'action pour la promotion de la démocratie (GAPD) qui tient à préciser publiquement l'origine ethnique de chacun de ses membres pour bien montrer qu'il représente un large éventail du pays. Le président sortant Ange-Félix Patassé est réélu pour un second mandat de six ans à la présidence de la République centrafricaine. - 2 octobre 1999 : Annonce des résultats officiels, Ange-Félix Patassé recueille dès le premier tour 51,6 % des voix, contre 19,4 % à son principal opposant, l'ancien président André Kolingba. - Fin du mois d'août 1999 : Le scrutin est reporté deux fois en raison de problèmes d'organisation et se déroule le 19 septembre. Ces retards entraînent des affrontements violents entre les partisans du président sortant et ceux des candidats de l'opposition. Les partis d'opposition, qui présentaient neuf candidats pour affronter Ange-Félix Patassé, ont signé un pacte de ralliement au mieux placé des candidats issus de leur camp, en cas de deuxième tour. Dénonçant des irrégularités dans le déroulement de l'élection, ils demandent l'annulation des résultats.
- Octobre 2002 : Un coup d'état renverse le gouvernement de Ange-Félix Patassé. Mené par son ex-général François Bossisé, il prendra alors le pouvoir d'un pays pillé et ruiné.
Date de création : 30/06/2006 @ 23:57
Dernière modification : 10/08/2006 @ 22:58
Catégorie : Histoire
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